Wow

Déambulant à travers les rues assombries et accueillantes comme la mort avec ceux dont l'heure était venue, le Grand Maitre des Démonistes finit par atteindre le quartier de la Magie de l'admirable crypte et cité morbide de Fossoyeuse, capitale des Réprouvés, les morts-vivants insoumis et libérés de l'emprise du Tyran de la Couronne des Glaces. Farkal était l'un d'entre eux, l'un des plus important car il faisait partie de l'élite et se trouvait dans l'entourage de la Dame Noire, Sylvanas. C'était une grande fierté pour lui, d'être parmi les proches de celle qu'il vénérait et servirait toute son existence, jusqu'à ce que ses os ne soient plus que poussière ou encore trouverait-il le moyen d'échapper à ce destin irréfutable. C'était grâce à elle qu'il pensait à nouveau, qu'il avait cette inestimable liberté. Pour cela il avait juré fidélité à la Reine Banshee et exécutait ses moindres ordres au pied de la lettre avec un zèle terrifiant. D'ailleurs, il se rendait à l'autel des Démonistes où une réunion d'importance l'attendait. Il allait informer ses confrères des plans de Sylvanas concernant la guerre opposant la Horde dont il faisait partie et l'Alliance. En chemin, le mort-vivant vêtu d'une superbe robe flamboyante de sorcier et d'un capuchon lui voilant le visage s'arrêtait de temps à autre pour humer l'air, se reposant sur son sceptre de grande valeur et jetant des regards de part et d'autre, avec ses yeux sombres où brillaient les lueurs diaboliques d'une volonté ardente. Il voyait avec joie les nombreux démonistes s'entrainer de toute leur âme pour gagner en puissance et son estime à lui et celle de Sylvanas. Il les voyaient concentrés, sur le point d'invoquer de terribles créatures d'un monde effrayant pour leur servir de compagnon ou d'arme de combat. D'autres s'exerçaient à lancer des sortilèges toujours plus rapidement et de plus en plus efficaces sur des cibles ou sur d'autres démonistes lors de duels intenses. Il aimait s'attarder à les regarder faire, passer les voir et conseiller, expliquer et montrer la manière de procéder. Mais ce soir, il n'avait guère le temps de rester là, il grimpa les marches de l'autel où l'attendaient déja les Maitres Démonistes les plus éminents, il tint conseil avec eux un court moment puis on fit rassembler tous les démonistes de la cité afin de leur expliquer la situation. Quand ils furent tous réunis en bas des marches, on vit une foule bien attentive lever les yeux vers le haut des marches, vers le Grand Maitre Farkal, premier des démonistes.

Glaciale, immobile, gisant sans vie, telle une pierre dans la nuit, Yavanna songeait. Au bord d'une falaise, son regard perdu fixait l'horizon tourmenté par la danse interminable et pourtant agréablement apaisante des flocons de neige dans un ciel gris d'hiver. Le vent à cette altitude était une torture, plus violent que la pire des brutes, plus tranchant que la plus aiguisée des lames. Il chuchotait et sifflait sinistrement, présentant l'hostilité évidente des lieux. Tout était sombre autour d'elle, mais son cœur et son esprit étaient plongés dans les ténèbres plus sombres encore, son petit cœur qui battait si faiblement dans sa poitrine froide saignait depuis longtemps, sans aucun espoir de cicatriser, elle n'avait que le désespoir pour toute compagnie la journée, et ses cauchemards la berçait la nuit. Elle était seule, à affronter le monde, la difficulté de la vie et son impitoyable destin. Elle était morte, deux fois déjà. Auparavant, c'était une noble dame de l'aristocratie des Hauts Elfes de Sang, une grande héroïne qui s'était forgée un nom lors de nombreuses batailles. Mais comme tout héros un jour, elle finit par tomber les armes à la main, face à l'armée du Fléau dirigée par Kel' Thuzad. Il lui fit rendre son dernier souffle après avoir été atteint par l'épée de la jeune femme d'un coup à l'épaule. Fière d'elle pour avoir combattue et périe pour son peuple, elle ne s'était pas attendue à devoir revenir à la vie en tant que chevalier de la mort afin de servir celui qui l'avait tuée. Sans volonté, sans pensée, elle était devenue une esclave contrainte d'obéir aveuglément aux ordres immondes du Roi Liche. Elle affronta tout ceux qu'elle avait jadis aimé, sa famille qui l'avait élevée et chérie, ses amis qui avaient toujours été là pour elle, ses frères d'armes et même son amour avait périt par sa main sanglante et souillée à jamais. Ce n'est que lorsque le pouvoir du Roi Liche s'affaiblit que son emprise sur elle se relâcha et qu'elle retrouva sa conscience et sa mémoire pour s'échapper et ressasser le passé avec toutes ses erreurs et ses amers regrets pendant l'éternité. Yavanna n'était plus qu'une âme en peine qui errait sans but. Soudain, sur son visage au teint d'ivoire, une longue larme douloureuse perla le long de sa joue pour mourir sur ses lèvres glacées. Ses yeux bleus étincelaient avec la flamme de l'après-vie et une haine féroce nourrie par ses terribles souvenirs s'affichaient aussi clairement qu'une torche ardente dans l'obscurité. La puissance écrasante de son regard aurait brisé bien des braves et en aurait terrorisé plus d'un. Son charme de jadis était toujours là, mais son éclatante beauté était glaciale et ténébreuse désormais.

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Déambulant au travers de la couronne de glace sur le dos de son proto-Drake, Darkspears était à la recherche d'un adversaire capable de lui faire ressentir l'excitation qu'était la sienne lorsque qu'il s'était battu contre cette créature abominable qu'était le recousu. Malheureusement pour lui, même les hordes de goules affamées qui vagabondaient au travers des plaines glacées et infertiles de Norfendre n'était pas assez fortes pour lui. Tout en se dirigeant vers l'accostage de Hrogard afin d'éliminer les truand qui avaient pris possession de l'île la plus au nord de Norfendre. Pendant le trajet, il se rémora sa vie d'antan, celle où il était un guerrier noble, aimé par ses proches et redouté par les monstres de l'Azeroth. Il se souvient de comment il est mort la première fois, et surtout, de la personne qui lui a porté le coup fatal. Ayant entendu parler d'une contrée légendaire nommée Outreterre, il parti en quête du portail lui permettant d'y accéder. Une fois arrivée dans cette contrée, il eut un sentiment de puissance, comme si cette contrée était remplie de magie. Voulant prouver une fois de plus sa valeur, il parti explorer tous les recoins de l'Outreterre, pour pouvoir conter a ses proches ses exploits héroïques une fois de plus. Cependant une fois arrivé dans la vallée d'Ombrelune, la seule partie qu'il n'eut pas exploré, il tomba sur le tueur de démons légendaire mais aussi sans pitié pour personne, Illidan Hurlorage. Le chasseur ne lui avait laissé aucune chance de se battre, ou de se défendre. Croyant trouve le repos, il sombra dans les bras de la faucheuse, mais quelqu'un l'en tira : Le Roi Liche. Ce dernier lui promis pouvoir et vengeance, ainsi que sa revanche sur Illidan, si il lui jurait fidélité. Darkspears accepta tout de suite persuadé de sa future réussite. Mais un événement fini par le faire douter de sa loyauté : Liche lui demanda de tuer son amie la plus chère. Il ne voulu pas donner le coup de grâce, mais le souvenir de sa mort, ainsi que l'influence de Liche lui firent abattre son épée sur le coup délicat de son amie. Mais malgré tout ce que Darkspears avait fait pour lui, Liche trahit les Chevaliers de la Mort. Darkspears était devenu un démon sans but, subsistant grâce aux primes sur les monstres de Norfendre. Ses yeux vides mais étincelants de la lueur de la mort, regardaient au loin, et il aperçu la Citadelle de Glace, la nouvelle demeure de la personne qui l'eu trahi. Il songea par le même temps a retrouver ses d'autres chevaliers trahis par Liche, pour porter un assaut dans la forteresse de Liche. Mais pour le moment, il pensait surtout a aller gagner sa prime, pour aller se nourrir a Dalaran.

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Parcourant les allez sombres au milieu de la nuit de la grande cité de Hurlevent, Lalasatalin songeait a la discussion qu'elle eu un peu plus tôt avec Hana, une amie à elle. Continuant sa marche sans pour autant regarder vraiment où elle allait, Lalasatalin croisa un nain apparament émeché qui l'aborda. Il lui demanda si elle était intéressé par "un petit jeu a deux". La draineï, choquée par ses propos et dégoutée par son haleine qui empéstait l'alcool, dégaina son épée et l'avertit de continuer son chemin, sous peine de recevoir "un petit coup dans le cou". Le nain parti sans demander son reste.
Désormais tranquille, Lalasatalin repris sa route vers le port de Hurlevent, afin d'accéder au continent maudit : Norfendre. Quelle que soit l'heure, ce port plutôt modeste pour la taille de la cité, était constament animé par les marins, les voyageurs, et les gardes qui passaient régulièrement. Lalasatalin avanca vers le ponton que lui avait indiquée Hana, là où s'arrette le bateau qui fait navette entre Hurlevent et Norfendre. En attendant le bateau, Lalasatalin se demanda pourquoi elle avait entreprit cette épopée : Elle se souvient du crash du vaisseau Draeneï, qui devint plus tard l'Exodar. Elle se souvient aussi du nombre de ses amis qui sont morts dans le crash, soit parce que ils étaient malchanceux...soit parce que ils étaient pas forts.
C'est pourquoi Lalasatalin a décidé de partir de sa terre d'adoption : Trouver la force de survivre a absolument tout ce qui pourrait lui barrer la route, que ce soit un Orc, un Tauren ou même...le Roi Liche. Car c'était là son ultime but : tuer Liche et prouver au monde entier sa puissance. Mais là aussi était le problème : Elle était une femme, et pour cela, personne ne voulait reconnaitre que elle pouvait aussi être une guerrière accomplie. Le bateau arrivant au loin la tira de ses reflexions. Quand il s'arretta, elle posa un sabot sur le pont et a ce même moment, son regard bleu azur profond s'empreint d'une volontée capable de faire fuir bien des hommes.

Nombre de messages : 5 Age : 33 Date d'inscription : 20/08/2010

J' étais allergique à l'odeur pestilentiel que dégageait ces lieux maudits, les murs étaient délabrés, les pièces étaient sombres et de vastes canaux circulaient des déchets à travers un liquide verdâtre qui aurait pu dissoudre le plus dur des métaux, et dire qu'il s'agissait de l'ancienne et présitigieuse cité de Lordaeron, il ne restait d'elle que cette amas sordide dirigeait par cette race cruelle et sadique les réprouvés...d'anciens humains transformés en mort-vivant par le ténébreux kel tuzad et sa peste dite du fléau, ils avaient pu retrouver une part de leur volonté grâce à l'affaiblissement du Roi Liche et la puissante Sylvanas Coursevent chef supreme des réprouvés; lors de leur révolte envers Liche, les réprouvés décidèrent de s'accaparer la ville natal de celui ci : Lordaeron et ils la réintitulèrent en s'inspirant de la briseuse d'âme,le mythe de la Faucheuse; cette cité maudite ou ne reignait que mort et désolation s'appelerai fossoyeuse. J'avais pour mission d'escorter le chef stratégique, le grand magistere, de la fabuleuse et grandiose nation des elfes de sang au congrès militaire de fossoyeuse, pour discuter de la menace de l'armée du Roi Liche et trouver une solution pour éradiquer ces monstres de haines, mais comment discuter avec les enfants du Roi de la mort...Je sais que ce n'est pas mon role de juger, je suis la pour obéir, moi qui suis un fier elfe de sang, un champion de la lumiere, puissant paladin reconnu par son peuple, comment peut on rendre justice avec des partisans des ténébres tel que ces mort-vivants avide de pouvoirs et de destructions ???
Nous étions arrivés au département militaire de la cité de fossoyeuse, on voyait de nombreux réprouvés s'entrainaient d'arache pied, presque au sens propre du terme, ils s'appliquaient aux différentes techniques d'assaninats et de guerre, on constatait facilement que les mort vivants étaient doués dans l'art du vole et de la violence. Un réprouvé apparut devant moi, comme par magie, il avait la capacité de devenir invisible, celui ci nous proposa de le suivre, mon général nous fit signe de le suivre, nous entrions dans une pièce ronde ou était installé, plusieurs chefs stratégique et militaire, tel que le général Garrosh ou encore le général Harkot, connu pour ces stratégie guerrière absolument implacable et inhumaine, il s'agissait à mes yeux d'un tyran, l'un des réprouvés proposa une chaise à mon maitre et je me mis debout à sa droite, le débat militaire commenca...
Le bute de cette opération était d'obtenir un bastion militaire stable en territoire hostile, le continent glacial de Norfendre, mais il fallait pour cela déloger la civilisation arachnéenne nérubienne, ce tyran d'harkot n'eut d'autre réaction que de vouloir tous les exterminer car il s'agissait pour lui de suppots de Liche, or c'était totalement faux tous ne travailler pas pour Liche, il éxistait encore quelques nérubiens fiers de leur liberté, je ne puis m'empécher d'interompre ce sac d'os, on m'avait enseigné toute ma vie que seul la justice de la lumière étaient vérité et que celle ci n'était pas annonciatrice de morts inutiles:
-Harkot!!! tu te pretends chef militaire mais comment peux tu proposer un tel carnage tu ne peux pas déloger ou encore moins tuer des êtres innocents!!!Jamais je n'approuverai de tels actes!!!Si nous voulons un bastion nous devons cohabiter avec eux!!!!
-Tais toi !!!! s'exclama mon général
-dois je te rapeller fils du sin dorei que tu es appelé beni le lumineux pas uniquement à cause de tes long cheveux dorés mais à cause de la tres grande fidélitée que tu as toujours montré à tes superieurs et ainsi grâce à nous tu as toujours pu rendre justice comme il se devait;alors ne t'occupe pas de ces affaires tu n'es pas un chef stratégique, tu es la pour exécuter point à la ligne, et sache paladin que parfois meme la plus puissante des lumière ne permet pas de sortir vainqueur , il est parfois mieu d'emprunter des solutions moins risquées.
Un sourire narquois s'afficha sur le visage défiguré du général harkot:
- apprends elfe de sang que si je vois,un des miens, un autre ou toi, croulant sur le champs de bataille je n'hésiterai pas à me délecter de ta chaire et de tes tripes pour retrouver la force d'emporter la victoire, hahahah...ahahahahahahahahahahah!!!!!!!!

Le seigneur de guerre Harkot étouffa son rire malsain avant de conclure rapidement :

_ Puisque nous sommes tous d'accord, annonça-t-il en souriant misérablement au jeune paladin, nous prendrons la voile et voguerons au son des tambours de guerre jusqu'en Norfendre et arracherons aux affreuses araignées leur territoire pour en faire notre base d'activité dans ce continent.

A la fin de ces mots, Harkot sentit avec amusement le regard lourd de reproche du jeune Béni posé sur lui, et ressentait clairement son désir de vindicte. Avant de le quitter, il lui fit un clin d'œil empreint de mystère.
C'est ainsi que trois jours plus tard, une partie de la flotte des Réprouvés faisait cap vers le nord accompagnée des vaisseaux de bataille des Elfes de Sang. Ils mirent une pénible semaine avant d'atteindre les rivages du continent de glace. Les armées s'assemblèrent sur les plages périlleuses dans un vent pénétrant même les armures et chuchotant des mots violents. Harkot était le chef d'armée et n'avait de compte à rendre qu'au seul grand magistère avec qui il avait discuté au cours de la conférence, il était également le maitre du jeune Béni qui prenait part lui aussi à l'expédition. Le mort-vivant prit donc la tête de l'armée et ils pénétrèrent dans le climat rude et inhospitalier de Norfendre à l'intérieur des terres. Ils leurs fallut encore plusieurs jours avant d'entrer dans le domaine des Nérubiens, leur objectif principal. Ils établirent un camp retranché avant de se lancer à l'assaut des créatures au cœur de leur territoire. Afin de se préparer et se reposer efficacement. Alors qu'il inspectait le campement, Harkot eût l'occasion de croisé son ami le paladin toujours aussi froid et méprisant envers lui depuis la réunion. Le mort-vivant prit soudainement envie de le déchiqueter et d'enfoncer ses dents pourries dans sa chair qui le faisait baver de désir depuis le premier jour qu'il l'avait aperçut. Il se maitrisa pour éviter un conflit qui risquait d'être fatal à leur entreprise, il refusait de subir le courroux de sa Reine vénérée pour une telle idiotie. Il se contenta de le narguer en ces termes :

_Tu ferais mieux de rester là jeune Elfe, la guerre n'est pas du domaine des faibles et des trouillards. Ne croises pas mon chemin si toutefois tu viens avec nous, je te le conseilles amicalement héhéhé...

A cela l'elfe de sang ne répondit pas et se contenta de serrer les dents et les poings. Le lendemain, à l'aube, les rangs étaient bien disposés en ordre de bataille. Les morts et les Elfes de Sang s'en allaient semer la ruine et la désolation. Une grande lutte pour le contrôle des terres s'engagea, une bataille sanglante d'une brutalité toute barbare. Harkot ne semblait pas enclin à négocier avec la race arachnéenne, du moins pas avec les mots au grand malheur de Béni le jeune paladin qui le regardait transpercer et vaincre les uns après les autres ses adversaires sans pitié en riant macabrement, les yeux nimbés de flammes de démence. Harkot se donnait à cœur joie dans ce carnage injustifié. Ils obtinrent la victoire la plus importante au prix de nombreuses pertes mais cela importait peu au général des Réprouvés.

_Félicitation mes braves ! Nous leurs avons apporté le salut, au nom de Sylvanas la Dame Noire et pour la Horde ! cria t-il, acclamé par ses troupes. Mais ce n'est pas encore terminé, ils faut éradiquer cette race avant qu'elle ne retrouve les forces capables de nous inquiéter. Cherchons et achevons tous les survivants, n'épargnez personne c'est un ordre !

Béni cru alors perdre son sang froid, il s'était avancé vers le général, prêt à dégainer la main empoignant son arme, mais la main de son mentor sur son épaule parvint à lui faire suspendre tant bien que mal son geste aux conséquences qui auraient pu être dramatiques. Ainsi, personne ne broncha et tous s'exécutèrent à la tâche. Le massacre se poursuivit encore et encore jusqu'à ce qu'un jour le destin fit de nouveau se croiser les deux rivaux Béni venait d'arriver pour assister à la sentance imminente d'une famille de Nérubiens qui implorait le mort-vivant :

_Non arrêtez enfin, pourquoi cette attaque ? Pourquoi troubler notre quiétude et nous anhiler ? Laissez-nous en paix, laissez nous partir ! implora un père Nérubien.

_Votre race abjecte et asservie par le Tyran ne mérite rien de plus que la mort ! Faites silence et mourrez sales créatures ! répondit Harkot en abattant sa lame.

Le mort vivant trempé du sang noir délétère de ses victimes se retourna face au paladin, un air de folie affiché sur son visage terrible. Celui-ci s'était laissé envahir par la haine et l'épée en main, il s'élança à l'attaque du mort-vivant. Pour lui, cette fois, s'en était trop. Ne pas réagir aurait été renier tout son être. Ils s'affrontèrent alors avec rage et violence.

_Je t'avais pourtant prévenus vaurien, ta vie s'achève ici ! hurla le général.

Il frappa un coup sur le flanc droit et un coup sur le flanc gauche de Béni sans l'atteindre, il s'avérait plus fort qu'il ne le croyait au départ. Il redoubla de puissance et de rapidité dans ses attaques et leurs lames s'entrechoquèrent un nombre incalculable de fois avant qu' Harkot ne réussisse à touché faiblement son ennemi au bras. Béni était toutefois loin d'être vaincut et se déchaina sur son adversaire, son rythme d'attaque était phénoménale et ses coups étaient lourds. Harkot tenait pourtant bon puis il se déhancha pour donner un maximum de puissance à son épée à deux mains dans un coup surpuissant. Béni enragé parvint à dévier le coup d'épée et envoya un revers de poing dans la face de son adversaire qui lui éclata deux des quelques dents qui lui restaient encore. Puis il lui plaqua un bon coup de pied qui l'envoya à terre, lui faisant perdre son épée. Le général était immobile comme vidé de ses forces. C'est alors que le jeune paladin s'avança pour lui offrir le coup de grâce quand subitement, tel un serpent le mort vivant se redressa et sortie un poignard de sa ceinture pour trancher sévèrement le visage de l'elfe de sang. La surprise faillie être fatale au paladin qui reçut un crochet du gauche du général sous la machoire. Puis Harkot fut repoussé d'un coup d'épaule et vit son ennemi le charger en hurlant tel un fou furieux. Son épée lui trancha le bras portant le poignard et l'envoya au tapis près de son arme de départ qu'il récupéra. Béni bondit pour l'achever lorsqu'une douleur subite le paralysa, une douleur intensément aiguë dans le dos. Un poison coulait dans ses veines et il eût juste le temps de comprendre que ceux qu'il avait décidé de protéger avaient sceller son destin. Harkot avait assister avec stupéfaction à la scène devant lui et ne perdit pas de temps pour récupérer son épée et se débarrasser du Nérubien assassin du paladin. Puis il se pencha sur le dépouille de son adversaire et lui cracha au visage en l'insultant et lui bourrant le corps de coup de pieds. Il lui jeta violemment :

_Tu te souviens de ce que je t'avais dit à la fin de la réunion ? Non ? Et bien moi je m'en rappel hahahahahaha !

Le mort vivant retira les plaques d'armure du paladin et donna libre cour à ses envies démentes de cannibalisme afin de régénérer ses forces manquantes. Il abandonna ensuite Béni pour rejoindre le sein de son armée victorieuse qui après quelques jours de récupération se mit à bâtir une solide base militaire connue aujourd'hui sous le nom de bastion Chanteguerre. Devenue la base principale d'opération de la Horde en Norfendre.

Nombre de messages : 5 Age : 33 Date d'inscription : 20/08/2010

Mon cadavre gisait sur le sol, je ne souffrais plus, je ne voyais plus, je ne ressentais plus rien, j'étais dans un immense trou noir, et aucune lumière ne transperçait ces ténébres sans fin...
J'avais toujours vécu pour la justice, la lumière et pour les autres, mais n'était ce pas une belle fable dans laquelle j'essaye de me complaire?? Je n'ai pas réussi à sauver qui que se soit, et se sont ceux que je voulais aider qui mon terrassé; et cette horde que je soutenai c'est révélé plus sauvage que le scorpion le plus agressif, elle m'a humilier, les miens aussi mon humilié, je crois que je les déteste tous, tous ces conflits ne m'ont apporté que soufrance et désolation, finalement la lumière ne peut rendre justice car elle se fera toujours tôt ou tard absorbé par les ténébres; je voulais créer un monde idéal mais c'est impossible, il n'y a aucune égalité enfin si, il y a un moment ou tout les etres sont égaux, c'est dans la mort...
Et puis une fois que ce damné d'Harkot avait eu fini de se sustenter de ma chaire, j'ai entendu une voie; une voie glacial et effrayante:
-tu es... comme.. moi... la véritable justice se trouve dans la mort... et moi seul ai le pouvoir te donner une seconde chance, une nouvelle vie ou tu aurai l'occasion défendre tes objectifs enfin ne plus dépandre de superieurs minables et corrompu par la vanité d'obtenir le pouvoir de la vantardise, je te propose une existence éternelle, une existence de vérités....
Oui c'était sa jusqu'à présent je n'avais vécu que mensonge, se que je défendais étaient mensonge, la lumière était mensonge, mon éxistence toute entière n'était qu'un vulgaire mensonge!!!!
-Qui que vous soyez donnez moi cette seconde chance que je puisse réparé mes erreurs!!! donnez moi la force des ténébres permettez moi de me venger!!!!!!Je veux plus de pouvoir!!! encore et encore aux prix de tout les sacrifices!!!
-soit, prépare toi à devenir le serviteur de la mort...
je sentais mon corps se régénérer, je sentais mon sang gelé circuler à travers mon système sanguin, et ma vue reprit son cour; et la première chose que j'apperçus était l'imposant Roi liche, il se tenait devant moi avec la légendaire frostmourne mais se qui m'avait réellement marqué c'est que je ne voyais plus que les ténébres, la vérité....
C'est cheveux long doré, avait pris une couleur pâle, ses yeux verts étaient devenu luminescent, sa peau avait pris la teinte blanche d'un mort et chacune de ses réspirations lui faisait expié un petit nuage de glace.
Sa nouvelle armure sombre était recouverte de visage démoniaque et squelettique et il avait abandonné son épée de lumière pour une claymore de sang...
Celui qui autrefois se faisait appeler Beni le lumineux était devenu...
-maintenant appelez moi Darkbeniouc le chevalier de la mort !!!!!
Il grimpa sur son destrier de la mort et parti pour debuter sa croisade de la vengeance:
-Harkot!!! prépare toi à mourir !!!!!! ahahahah...mouahahahahahahahhahahhaha!!!!!!!!!

L'ancienne servante du Roi Liche ne parvenait plus à s'extraire du cauchemard dans lequel elle s'était retrouvé depuis sa résurrection, pas un instant ne se passait sans qu'elle ne quitte sa falaise et ne subisse le tourniquet infernal de souvenirs heureux et malheureux entremêlés dans sa tête souffrante. Elle éprouvait une haine et un chagrin qu'aucun être vivant n'aurait pu supporter et pourtant, debout, droite, fière et immobile sur sa falaise, elle semblait envahie d'un calme olympien alors qu'il n'en était rien. Elle était seule dans sa bulle de ténèbres sans espérer le moindre secours, la moindre délivrance. Rien ni personne ne pouvait plus rien pour la sauver, elle était morte pour de bon. Elle était en pleine contradiction avec elle même, son côté obscur lui disait que sa vie n'avait jusque là été que mensonge, qu'en réalité elle n'avait jamais eue d'amis, que son peuple orgueilleux s'était moqué d'elle et l'avait abandonné à la malédiction qu'elle vivait. Et au final, elle ne pouvait croire cela car son cœur ne pouvait oublier tout l'amour qu'elle avait porter à ses amis, à son peuple pour lequel elle s'était battue jusqu'à la mort. Mais elle ne pouvait également oublier que les véritables responsables de son calvaire n'étaient autre que le Roi Liche et son fidèle Kel'Thuzad qui lui avaient refusés le repos éternel et condamnés à la souffrance. Sa haine à cette pensée ne fit que s'accroître tel un feu ardent. En vérité bien que mort-vivante elle même, elle éprouvait un terrible dégoût vis à vie de ces pauvres ranimés par magie et condamnés à la servitude. Qu'importait leur appellation, membre du Fléau, Réprouvé ou encore Chevalier de la Mort. Une tâche sombre apparue soudain à l'horizon, qui devenait plus imposante alors qu'elle se rapprochait droit vers la jeune femme, impavide à cette étrange spectacle. En vérité, il s'agissait d'une créature volante, un proto-drake qui déposa son maitre près de la jeune femme. Celle-ci ne lui prêta pas un regard, il lui adressa quelques mots dont elle ne comprit pas le sens du fait qu'elle l'ignorait complétement. Ce n'est que lorsque le pauvre homme commit l'imprudence de lui serrer le bras afin d'obtenir une réponse que la jeune femme sortie de sa torpeur maladive. Sa réaction fut instantanée, elle lui fit une clef de bras et lui faucha les jambes en une fraction de seconde, l'homme s'était retrouvé à terre. Yavanna ne fit rien de plus et lorsque l'homme se releva, elle croisa son regard semblable au sien, c'était un chevalier de la mort lui aussi et un elfe de sang tout comme elle qui plus est. Cette vision d'un des siens la perturba fortement et une douleur inquiétante lui vrillait le crane. Quand sa douleur passa, son visage prit l'image de la haine à l'état pure, on aurait crut voir une démone de la Légion Ardente. Elle dégaina sa longue épée en adamantite trempée et noircie. Une épée à deux mains de terreur, d'effroi. L'elfe de sang fit de même et tous deux se jetèrent dans un duel d'une violence inouïe où ils échangèrent une bonne cinquantaine de passes étincelantes sans qu'un vainqueur ou un vaincu ne puisse être désigné. La jeune femme était admirable lorsqu'elle se battait, elle avait un style ressemblant à de la danse, qu'elle nommait "Danse de la mort" de son vivant. Elle était belle, souple et rapide telle une ombre, et ses attaques surprenantes étaient toutes mortelles comme les frappes d'un serpent venimeux. De son côté l'elfe mâle se débrouillait bien également, compensant son manque de vitesse et de souplesse par une force brute plus importante. Ils s'immobilisèrent subitement, se jaugeant l'un, l'autre. Ils n'avaient usés d'aucune techniques runiques pour le moment et l'heure était venue de découvrir quels étaient leurs spécialités et leurs talents cachés. Le jeune elfe fit un pas en avant et fit un mouvement du bras droit comme s'il voulait empoigner la jeune femme et une ombre grandissante s'enroula autour de son bras jusqu'à devenir une terrible main qui se saisit de Yavanna, exerçant une réel pression sur son corps. C'était la Poigne de la Mort qu'il avait utilisé pour attirer à lui la dangereuse femme qui durant l'attraction préparait soigneusement une technique de givre. A peine arrivée à lui, il fut surprit de sentir le contact glacé du poing de la jeune femme sur son visage. Le jeune homme sous la violence du coup avait mordu la poussière et contracté la fièvre de givre. Sa peau se lézarda en teintes bleutés et ses mouvements étaient devenus plus lents et le faisaient souffrir. Il se releva et alors que Yavanna lui fonçait dessus à son tour, il se mit à corrompre le sol en apposant un sceau qui bouillonnait et véhiculait des maladies douloureuses qui rongeaient le corps, c'était le sceau de Mort et Décomposition. Yavanna ne geignait pas pour autant et ils recommencèrent à s'affronter à l'intérieur du sceau malgré les dégâts qu'elle recevait, elle parvint à dévier un coup d'épée de son ennemi pour ensuite le toucher en pleine poitrine d'une frappe de peste qui déversa la peste de sang dans son corps. Le pauvre elfe souffrait atrocement avec deux maladies combinés, pire encore quand elle eût l'occasion de le toucher avec sa frappe de sang et sa frappe de mort qui lui permit en même temps d'infligé une blessure à son adversaire de récupérer un peu de son énergie vitale. Epuisé par toutes ses maladies et toutes ses blessures, le jeune elfe posa un genou à terre pour reprendre son souffle. La jeune femme prit pitié de lui et le laissa en vie sans qu'elle sache pour quelle raison. Elle le laissa partir, et lui, conscient de la différence de niveau ne demanda pas son reste et s'en alla.

Invité

Le regard vide de son équivalent luisait d'une profonde pitié. L'elfe de sang, chevalier de la mort, qui venait de le battre lui fit un signe signifiant qu'il pouvait partir. Cependant, Darkspears hésita un instant : en effet, rester sur une défaite serait d'admettre qu'il avait une faiblesse. Mais son état ne lui permit pas de recommencer a se battre. Il se releva donc et parti, pendant que cette elfe de sang, regardait a nouveau dans le vide, comme si elle voulait voir au loin, a travers monts et lacs. Chevauchant son proto-drake, Darkspears se demanda pour quelle raison il eut perdu. Leurforce et leur armure était les même. Depuis qu'il avait possédé cette armure de gladiateur, personne ne l'avait vaincu, alors pourquoi une seule elfe put le faire?
Cette question en créea des centaines dans la tête de Darkspears. Dès qu'il avait eu sa première épée, a l'âge de 15 ans, il s'était dévoué a devenir fort, pour proteger les siens. Mais le jour où Illidan le tua, il comprit que malgré toute la puissance qu'il aurait pu acquérir, il y aura toujours au moins une personne pour lui rappeller que il n'était pas le meilleur. Après que Liche l'eut trahi, il croyait que si il s'améliorait encore, il pourrait atteindre son niveau. Mais la réalitée était tout autre : Il avait réalisé que si une seule personne le battait, alors il ne pourrait jamais atteindre Liche sans équipiers. Sur cette pensée, il reparti de plus belle a la recherche d'un chevalier de la mort plus pacifique, afin de pouvoir former un groupe.
Pendant des heures il vagabonda, profitant de ce laps de temps pour se soigner et se régénerer, il fini par appercevoir une silhouette devant la citadelle, comme si il n'était pas le seul a vouloir sa vengeance. Il commença donc a descendre, comptant bien se faire un allié de cette personne. Une fois posé, il avanci d'un pas sûr vers cet homme qui, vu la forme de ses épaulières, était un chevalier de la mort. Darkspears s'arreta a 3m de son "allié" quand celui-ci daigna se retourner. Mais la réalité se révéla ailleurs : le visage de cet homme était lui empreint d'une amertune proche de la haine. Darkspears eut envie de reculer mais son instinct lui dicta de rester face a cet homme.

L'île de Brume Azur, territoire des Draenei depuis leur arrivée céleste, était d'une splendeur unique en son genre, avec ses plaines immenses, ses grandes forêts aux arbres glorieux, peuplées d'animaux sauvages introuvables par-ailleurs. Son climat doux et son atmosphère calme aux teintes bleutées avait immédiatement séduit le pauvre peuple en fuite de la Légion Ardente, avec ses démons innombrables assoiffés de sang et ivres de batailles. C'était là que se trouvait l'Exodar, leur foyer principal, qui, à l'origine, était un vaisseau spatial. Le souvenir du crash de l'Exodar sur cette terre nouvelle restait bien ancré dans la tête des Draenei qui avaient vus bien des leurs succomber à la collision. Ils n'étaient désormais plus très nombreux depuis le crash et la corruption de deux des trois chefs Erédars par Sargeras qui divisa les Draenei. Ceux qui restaient à l'intérieur de l'Exodar étaient les plus purs, les plus nobles d'esprit, les incorruptibles. Ils étaient ceux qui avaient suivis le Prophète Velen, le troisième chef des Erédars qui ayant aperçut l'avenir et les horreurs qu'il promettait, avait tenter de ramener à la raison ses deux amis Kil'Jaeden et Archimonde sans résultat, trop séduits par l'offre de puissance et d'immortalité de Sargeras. Ceux qui suivirent Sargeras furent transformés en Démons et acquirent effectivement de grands pouvoirs et l'immortalité. Ils n'étaient plus considérés comme des Draenei mais comme des Démons de la Légion Ardente. En revanche, les diciples de Velen portaient ce nom et avaient jurés de combattre la Croisade Ardente jusqu'au bout, avec l'aide de l'Alliance qui avait recueillit les exilés Draenei en son sein. Des années plus tard, alors que tous les regards étaient tournés vers le nouveau continent du sombre Arthas, Velen, lui, se dirigeait à la Voute de Lumière de l'Exodar. La splendeur des lieux l'envahit dès lors qu'il y pénétra, une lumière d'or éblouissante amplifia sa majesté. Il continua jusqu'à l'autel des prêtres et y fut honorablement reçut. Il demanda à voir la Grande Prêtresse et celle-ci vint le rejoindre d'un pas leste et merveilleux. Magnifique dans sa tunique baignée de lumière éclatante, le visage radieux, le regard tendre et pétillant de l'innocence, les yeux ruisselants de magie, les cornes couchées pointes à l'arrière sur sa tête étaient admirables. Sa chevelure d'argent étincelait et coulait sur son dos. Elle était grande et droite, d'une attitude calme et une aura de noblesse bienveillante émanait de son corps. Sa beauté était saisissante, envoûtante, elle était d'une pureté irréprochable et on disait qu'elle était la plus belle des Draenei et d'une bonté inégalable. Elle était très importante pour son peuple et elle veillait sur lui en se consacrant toute sa vie à la magie sacrée inspiré par les Naaru, les dieux des Draenei.

_ Bénis soient les Naaru pour nous accorder l'honneur de votre visite, ôh Seigneur des Draenei. salua la Grande Prêtresse en s'inclinant respectueusement devant Velen.

_ C'est de pouvoir te parler et voir ton visage qui est un véritable don des Naaru ma douce Promaya, moi, je ne suis qu'un vieillard abandonné par la Lumière de la vie. répondit le prophète.

_ Nous auront toujours besoin de vous et de vôtre grande sagesse monseigneur, vous êtes notre guide. dit-elle de sa voix mielleuse, se voulant réconfortante.

_ Aujourd'hui, c'est de toi et ta sœur dont notre peuple a le plus besoin. Je vais te dire pourquoi je suis venus et tu transmettra le message à ta sœur. annonça t-il mystérieusement.

Plus tard dans la journée, Promaya décida de rendre visite à sa soeur ainée Satsuki pour lui livrer le message de leur père.

Nombre de messages : 5 Age : 33 Date d'inscription : 20/08/2010

Je n'arrivais pas à retrouver ce dément d'Harkot, étant donné que je ne faisais plus parti de la horde aucuns moyens évidents de le retrouver j'avais décidé de revenir à la citadelle de la couronne de glace, et prendre le temps de réfléchir; ou pouvait être se monstre qui avait eu l'audace de m'humilier??? j'étais d'une humeur massacrante....
Au loin apparut une silhouette, je ne mis point de temps à comprendre qu'il s'agissait d'un chevalier de la mort et qui plus est, il s'agissait d'un traitre, car il disposait d'un équipement complet de gladiateur furieux, ce qui dès lors impliquait son retour près de son chair clan : LA HORDE.
-humm... je pourrais me servir de cet imbécile...pensais je.
Après m'être vengé de ce chien d'harkot, je m'étais fixé un objectif très amusant; tuer chaque chef de chaque race, mais il me fallait imperativement une equipe, et que les membres soient fiables, en voyant ce traitre, je concoctais un plan génial, j'allais essayer de lui faire croire que comme lui je souhaitais abattre le seigneur Liche; alors il se joindrai à moi et ainsi je pourrais approcher chacun des chefs de la horde avec aisance, néanmoins comment le convaincre?? plusieurs solutions s'offrait à moi :
la premiere essayait de faire connaissance et argumenter sur les objectifs que nous défendons, néanmoins j'avais en face de moi un chevalier de la mort, et je savais pertinemment qu'il n'existait pas classe plus solitaire, le convaincre de cette façon s'avérerai certainement difficil, de plus je ne serai pas en position de force par apport à lui, il pourrait flairer le fait que je mens à cause de mon armure et qu'en plus je sois devant la citadelle, néanmoins cette solutin à un véritable atout, elle évitait le conflit, car rien ne me dit que je sortirai vainqueur si je devais me battre contre lui; étant donné que je ne connaissais pas ses capacités;
quand à la deuxième solution, il s'agissait directement d'entrée en conflit avec et le sousmettre afin de l'obliger à m'écouter et ainsi le contraindre à me suivre, l'inconvénient etait que si il était plus fort et bien j'aurai de gros ennuis et l'avantage, cela me permettait de tester ses capacités et de savoir si je sortais vainqueur, si oui ou non j'avais intéret qu ' il me suive...
J'optais apres une courte réflexion pour la seconde solution et je parirai sur mon talent.
-bienvenue à la citadelle de glace chevalier de la mort!!!!
Celui ci dégaina immédiatement son épée, je n'avais meme pas à déclarer les hostilitées, cette idiot venait de faire encore mieu que sa que javais prévu, une des conditions était déjà rempli.
-toi insecte tu oses dégainer ton épée devant moi, ahaahahahahah!!!
Je dégainais à mon tour ma vaste claymore de sang, et il me lanca le premiere assaut que je n'eux aucune difficulté à parait, celui ci me relanca une multitude d'assauts, que je sus tous contrer du revers de ma large épée, je constatais que ses coup étaient d'une violence rare, mais quelle lenteur dans ses mouvements, j'avais compris qu'il s'agissait d'un chevalier de la mort axé sur la specialité sang, autremendit qu'il avait une technique entreprise sur la force et des coups d'une violence exessive.
Je sentais en lui de la frustration, le fait que j'avais paré tous ses coup l'avait mis hors de lui, il commencait à perdre son sang froid, pourtant nous etions au debut de notre affrontement, quelque chose l'avait marqué mentalement, je le sentais, je le savais, autrefois j'avais subi la même chose avec Harkot.
J'étais maintenant sur que la victoire était mienne et je devais profité davantage de son état moral :
- alors chevalier de la mort c'est tous se dont tu es capable hahahahahah!!!!!! meme un femme pourrais te battre a plate couture!!!! mouahahahahaha!!!!!!
Celui ci criat toute sa rage :
- roaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh crèveeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'avais mis le doigt sur quelque chose , cette imbécile venait d'être vaincu par une femme, j'en étais sur sinon pourquoi une tel réaction.
Dans sa colere, il activa sa puissante technique histérie; une aura d'energie violette rouge entourait l'individu, je sentais en lui une force incroyable mais il était certain que celui ci ne savait pas user correctement de son potentiel
et il repartit à l'assaut avec sa frappe au coeur, il comptait en découdre et m'exterminer :
- mouahhahahahhahah misérable insecte!!!!! apprend que je suis Darkbeniouc le chevalier de la mort et c'est se que j'apporte!!!!!!!!!!!!! frappe de pesteeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nos armes s'entrechoquèrent avec une violence inoui, la résonnance était telle qu'un humain normal aurait eu les tympan crevés :
- bien joué insecte, mais ton coup fut inutile et tu as depensé beaucoup d'energie et de vitalité en utilisant tes différentes techniques je vais donc en profiter, si bien entendu sa ne te dérange pas; enfin je ne te laisse pas vraiment le choix mouahahahahaha!!!!!! sache mon ami que meme si mon coup ne ta pas directement toucher, il était suffisamment pres pour t'offrir trois généreusitées mais apres c'est à toi de me dire si ces trois cadeaux sont efficaces ??????
le chevalier de la mort se demandait qu'elles étaient ces étranges maux qui lui infligeaient une tel douleur :
-ah!! tu veux savoir se que je t'ai offert eh bien la premiere de mes maldies s'appelle violation, celle si n'influe guère sur la souffrance que tu ressens mais elle te ralentit, elle attaque ton systeme nerveux et va t'empecher pendant un certain de temps de te mouvoir, ma deuxième maladie s'appelle peste de sang , une maladie qui va te ronger de l'exterieur, quand à ma dernière il s'agit de ma plus puissante et vicieuse des mes creations, il s'agit de ma peste d'ébéne celle ci va s'infiltrer dans chaque parcelle de ton systeme sanguin et te faire pourrir de l'interieur, tu vas mourir dans d'atroce souffrance mon cher ami mouahahahahah
Toutes les conditions étaient réunies pour que je puisse le contrôler :
-mon ami, je vais te proposer un marché pour que tu puisses continuer à vivre , car vois tu j'ai autrefois été un abruti de paladin et je connaissais tout les serums pour pour guerrir de ces maladies, or il s'avère que j'en detiens sur moi quelques uns, je peux donc t'épargner mais il faudra remplir deux conditions la premiere je veux ton nom??
je constatais que meme apres sa défaite, il gardait en lui la rage de vivre, il n'hésita pas et repondu "Darkspear"
-bien Darkspear! nous sommes officiellement collègue toi et moi !!!hein ??!!! uhuhuhuhuhuhu houahahahahahah!!!!!bon ma seconde requête est simple comme tu es maintenant mon ami, tu vas me suivre.
Darkspear hurla de refut, il préférai mourir que de suivre un chien de liche
-ne te méprend pas, je ne travaille pas pour Liche, comme toi je veux l'éliminer!!!mais ce n'est pas à deux idiots que nous y parviendrons, nous devons venir à plusieur millier pour cela nous avons besoin de l'aide de toute la horde et d'autres chevaliers de la mort!!!! c'est pourquoi ensemble!!! nous retournerons dans toutes les provinces de la horde ,et nous ralierons à nous des milliers de hordeux et nous reviendrons à la couronne de glace et nous vaincrons!!!
alors elfe de sang!!! mon frere va tu me suivre ??!!!! vas tu lutter a mes cotés pour terrasser Liche ??!!
Sur ces paroles je sentais que darkspear etait ému, il accepta de se joindre à moi :
-tu as pris la bonne décision mon ami; tient l'antidote....
Je venais d'aquerrir ma premiere marionnette et pas des moindre car son potentiel etait grand .
L'antidote fit son oeuvre et darspear fut totalement guérie, puis il m'expliqua se qui avant notre combat lui etait arrivé, j'avais vu juste, je me devais de retrouver la femme qui l'avait vaincu, elle devait disposer d'un potentiel enorme...
-Darkspear, demain nous partons à l'aube retrouver cette femme.. mouahahha..ahahahahhaahhahah!!!!!
le chevalier de la mort darkspear lui ne semblait pas vraiment enthousiaste....

Le vieux Tauren demeura quelques mois à Fossoyeuse, ce n'était pas, à première vue, la meilleur option pour un chaman, mais Aetherion, de son nom, savait toujours tirer le meilleur parti de chaque situations.
Il avait donc profité de son séjours pour apprendre à mieux connaitre démonistes et voleurs, qui étaient légion à fossoyeuse, et s'entrainer au combat contre eux. Il fût fasciné par la manière dont les démonistes soumettaient l'énergie et comment ils pliaient des démons majeurs à leur volonté pour, soit les aider au combat, soit s'en servir comme monture, contrairement à lui qui communiais avec les énergies naturelles. Il opposa donc sa technique à celle des démonistes lors de nombreux affrontement qui ébranlèrent même, parfois, les fondations de la ville. Un jours qu'il s'entrainait au maniement de son bâton, il sentit plus qu'il ne vu le Maitre Démoniste Farkal, ainsi qu'une étrange force, à la fois lumineuse mais emplie de haine. Il fut interloqué car de ce mélange d'émotion il ne pouvait rien sortir de bon. Ainsi lorsque l'ordre fut donné de se préparer à aller en Norfender afin de conquérir un avant poste, Aetherion décida de se joindre aux préparatifs et au voyage. Ses efforts étaient apprécié car, malgrès son âge avancé, il était encore vigoureux et puissant. Durant tout le trajet, il ferma les yeux et apaisa son âme qui était tourmentée depuis qu'il avait ressentit la lumière. Lors de son arrivée à Norfender, il ressentit une Présence maléfique presque palpable, une concentration emplie de haine, de rage et de folie destructrice. Il tenta alors de se joindre à l'Astral pour dialoguer avec les esprits mais il se trouva dans l'incapacité de le rejoindre. Inquiet, il ferma son esprit et concentra toute son énergie afin de se protéger et de localiser cette Présence qui rendais l'atmosphère malsaine et qui troublait les énergies naturelles et qui obscurcissait l'âme. Aetherion, se fiant à son instinct, se dirigea vers ce qui semblait être un chef de guerre que les gens autours de lui nommaient Arkot. Il ressentit la Présence en lui et se mit à psalmodier un chant ancien dans une langue oubliée de tous, Arkot se tourna alors vers lui et lui dit :

-Que désire-tu vieillard !
-Noble chef de guerre, je ne désire que la paix et la sérénité.
-Alors va-t-en ! Tu te trouve sur un futur champ de bataille et elle sera sanglante ! Demain, un soleil rouge se lèvera, un soleil chargé du sang de nos ennemis !
-Si c'est ce que vous souhaitez, je ne puis vous en empêcher, mais les éléments m'exhortent de porter à votre connaissance cet avertissement : Ne cédez pas à la folie meurtrière qui se love dans votre coeur ou votre âme sera condamnée à errer dans les limbes de l'entre-deux monde.
-Aha, je n'ai peur de personne, et sache ceci viellard, la prochaine fois que nos routes se croiseront sera aussi la dernière
-Ainsi soit-il

Aetherion se retira dans la solitude de sa hutte et se retira dans la plenitude et le calme que lui offrait son sanctuaire interieur. Lors de la bataille à laquelle il avait refusé de participé, il sentit la lumière se changer en ombre, le bien devenir le mal, la vindicte devenir désir de vengence. Alors il partit en quête de cette âme en peine afin qu’elle ne se perde pas dans les méandres de l’Astral et qu’elle ne se fasse pas prendre dans les filets du Maudit. Lorsqu’il arriva sur les lieux du massacre, le coeur du chaman se remplit de honte, il était impensable, pour lui, que tant de cruauté et tant de haine puisse exister ainsi dans le coeur de ses confrères de la horde. Il vit alors Arkot se repaissant des chairs d’un Paladin, mort au combat probablement. Une ombre passa sur le cadavre du Paladin et ravit l’âme qui s’y trouvait. Il arrivait donc trop tard, c’est le coeur plein de tristesse pour ce brave parmis les braves qu’Aetherion commencea à rebrousser chemin, mais, la folie d’Arkot n’ayant pas de limites, il abandonna son macabre diner et se retourna vers le chaman. Comprenant que la raisons avait totalement quitté le chef de guerre, Aetherion se prépara au combat, de la terre, il fit naitre son totem de chair de pierre, afin que sa peau soit aussi dur que l’adamantium, de l’air il invoqua son totem de furie des vents, ainsi sa rapidité serait accrue et il pourrait rivaliser avec son adversaire, de l’eau il conjura son totem fontaine de mana, grâce auquel son énergie se rechargera plus rapidement, enfin, de la lave bouillonnant dans les tréfonds de la terre, il créa son totem de magma, ainsi, dès qu’Arkot sera à portée, le totem déchainera sa puissance destructrice sur lui. Alors qu’Arkot chargeais, Aetherion condensa l’énergie terrestre dans ses mains et la libéra violemment sur le guerrier qui était déstabilisé par la puissance du coup qu’il venait de recevoir, ne pouvant plus frapper aussi vite qu’il le pouvait normalement. A l’instant où le guerrier allait porter son premier coup, le chaman canalisa la puissante foudre afin de se protéger, Arkot ne connaissant pas cette technique ne se méfiat pas et continua son attaque, il se fendit afin d’atteindre le vieil hordeux aux côtes, mais, alors que sa lame allait faire jaillir le sang du Tauren, une décharge frappa violement le général qui recula sous l’impact. Aetherion était serein, malgrès la bataille qui fesait rage et son adversaire qui se déchainait, car, même si l‘affrontement n’était pas dans ses habitudes, il était un combattant aguerrit et Arkot avait eu tord de le sous éstimer. Pendant qu’il songeais à cela, il empoigna l’énergie de la terre qui naviguait en lui pour l’insuffler à son arme, il empoigna son vieux bâton et se lança à l’assaut du général. Aetherion alternait entre combat au corps à corps avec son baton et frappes violentes avec ses différents horions. Arkot, malgrès sa puissante armure, ne put résister aux assauts du vieux chaman ainsi qu’aux langues de flammes envoyées par le totem de magma, il tenta alors un ultime assaut désespéré mais fut stoppé net par un éclair d’une puissance inouie ainsi qu’une nova de feu ravageuse. Avant de rendre son dernier soupir il cracha sa haine à la face du Tauren :

-Je me relèverai, je reviendrai, te retrouverai et me nourrirai de ta chair, j’offrirai mon âme au Maudit et il me donnera une parcelle de son pouvoir afin que je puisse me venger. Je le jure, jamaias tu ne sera en paix, je te traquerais sans relâche, j’irai te chercher jusque dans l’outremonde si il le faut.
-Au campement, vous avez prononcé un serment, vous avez dit que la prochaine fois que nos routes se croiseraient serait aussi la dernière, visiblement vous l’avez oublié et ne souhaitez pas le respecter, je vais donc vous faire ressentir le poid de tels paroles, de là où je vais vous envoyer vous ne pourrez jamais revenir, vous serez condamné a errer seul, pour l’éternité, vous n’avez pas pris au serieux l’avertissement des esprits, subissez leur courroux !

En prononçant cette sentence, le chaman leva les mains et se mit à psalmodier :

Xia ladda âsa cued pyhhec à zysyec
Xi'amma cued asbnecuhháa tyhc mac dnávuhtc ta m'ahdna-taiq suhta
Xi'amma anna caim buin m'ádanhedá
Xia my jumuhdá tac acbnedc cued vyeda
(traduction)
Que cette âme soit bannis à jamais
Qu'elle soit emprisonnée dans les tréfonds de l'entre-deux monde
Qu'elle erre seul pour l'éternité
Que la volonté des esprits soit faite

Une faille s’ouvrit alors et absorba l’âme du général qui lança une ultime complainte avant d’être avalée dans le néant.
Aetherion, légèrement affaiblit par ce combat, s'assit afin de recouvrer ses forces.

Quelques souvenirs enfouis dans les méandres de sa mémoire ressurgirent à la suite de ce combat. Le visage de l'être vaincu lui avait rappelé celui de son aimé, même expression d'incompréhension, de tristesse, de souffrance, seuls leurs destinées divergeaient. Son aimé avait périt de sa main et un inconnu avait été épargné. Elle s'en mordait les doigts et se maudissait jusqu'à s'en rendre folle. Auparavant entourée chaleureusement par ses proches, acclamée par son peuple, elle était maintenant seule et rejetée de tous, nue dans les ténèbres, combattue par les siens. Elle tomba à genoux dans la neige, soudainement vidée de ses forces, elle pleurait des larmes de sang, des voix d'une époque passée lui chuchotaient à l'oreille, les visages qu'elle avait aimée tournoyaient autour d'elle à lui en donner la nausée. Elle aimait toujours son peuple et elle restait malgré les apparences une fière elfe de sang et jamais elle n'oublierait son passé. Elle brandit soudain le poing face à l'horizon, crachant ces mots avec rage :

_ Jamais plus je n'ôterais la vie d'un Elfe de Sang ! Qu'il soit mort ou vivant, j'en fais le serment !

Sa crise était passée et elle se redressa en laissant les bourrasques de vent enneigé tourbillonner tout autour de son corps et faire valser sa longue chevelure lisse et blanche dans un interminable balai. Elle revécue sa vie d'antan une nouvelle fois et se remémora tous ses combats, toutes les vies qu'elle avait prise au nom de la gloire de son peuple qui l'avait affublé du nom d'Héroïne. Mais tuer autant était-ce si nécessaire, cela ne lui avait servit de rien sinon accumuler des souvenirs qui aujourd'hui venaient l'assaillir avec une force remarquable. Tout ce pourquoi elle avait jadis vécue n'avait plus aucun sens, elle avait elle même détruit sa vie involontairement, et là encore elle devait combattre pour sa survie, dans ce monde brutal ou régnait la loi du plus fort. Exaspérée par ces sombres réflexions, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire, elle hésitait, prendre la tête d'Arthas et de Kel'Thuzad ne lui rendrait pas les siens et anéantir toute forme de vie ne la mènerait à rien non plus, en admettant qu'elle y parvienne. Alors elle restait là à attendre quelque chose dans la souffrance insupportable qu'était la sienne, comme si elle savait par intuition qu'un évènement allait survenir et lui ouvrir un chemin à arpenter. Toute la journée elle demeura ainsi, pensive, malade, pleine de haine et emplie de chagrin. Quand les premières lueurs de l'aube jaillirent pour chasser tant bien que mal l'obscurité, une atmosphère pesante alourdit l'air ambiant et une sensation de malaise envahit les lieux. Un cri strident retentit dans les cieux et Yavanna n'eût pas besoin de lever la tête pour savoir qu'il s'agissait d'un palefroi ailé corrompu de la Lame d'Ebène accompagné du proto-drake de la veille. Elle se demandait ce qu'ils lui voulaient, et fit l'hypothèse que le garçon qu'elle avait vaincu était partit chercher du renfort pour la tuer ou la ramener dans le droit chemin. Seulement, peu importait leur nombre, elle les écraserait tous. Ils mirent pieds à terre et celui qu'elle avait vaincu restait bien à l'écart et selon l'autre Elfe de Sang, il répondait au nom de Darkspears. Il affirma quand à lui s'appeler Darkbeniouc et lui demanda son nom à elle. Yavanna lui montrait toujours son dos et son silence était plus douloureux que n'importe quelle injure. Elle le piqua au vif et le grincement de son épée dégainée de son fourreau agressa les tympans. Il se mit à rire sauvagement et Darkspears en eût des frissons, elle en déduisait qu'il savait ce qu'il valait et que son pouvoir devait être destructeur. C'est alors qu'elle fit volte-face, réalisant qu'une fois encore elle devrait utiliser sa lame, la seule qui la comprenait et qui veillait sur elle quoi qu'il arrive. Elle croisa son regard et pénétra son âme d'une noblesse corrompue. Darkbeniouc semblait avoir une sombre idée en tête, comme un plan en cours d'exécution. Il lui parlait, cherchant la faille chez son ennemi afin de lui faire perdre son sang froid et le priver de son esprit tactique. Cependant il lui arrivait quelque chose à laquelle il ne s'attendait pas, la jeune elfe restait sourde, comme enfermée dans une bulle inaudible aux inanités de ses efforts. On n'obtiendrait de réaction d'elle que par l'épée. Un éclair déchira les nuages pour frapper le flanc des montagnes dans un bruit assourdissant et dans un flash de lumière aveuglant. Darkbeniouc s'élança à la rencontre de la jeune elfe, prêt à abattre sa terrible claymore sur elle sans qu'elle n'esquisse le moindre mouvement de défense, comme si elle allait embrasser la Mort. Ce n'est qu'au dernier instant qu'elle se décida à sauter par-dessus le coup d'épée afin de poser un pied sur l'épaule du chevalier de la mort pour sans servir de tremplin pour se séparer de lui d'un salto avant d'une élégance remarquable. Les deux alliés restaient encore sous le choc d'une telle prouesse accomplie avec une vitesse phénoménale. Darkbeniouc souria et se mit à niveau pour ne plus se faire surprendre encore. Yavanna le fixa de son regard dément puis empoigna son épée à deux mains pour faire face à son nouvel ennemi. Darkspears se doutait que leur combat allait prendre des airs grandioses. Il regardait attentivement les deux adversaires se ruer l'un sur l'autre dans une démonstration fulgurante de maitrise à l'épée. L'art de Darkbeniouc rivalisait avec la Danse de la Mort de Yavanna, ils se rendaient coup pour coup instantanément comme l'affrontement catastrophique de deux tornades en furies. Plus de cinq cent passes avaient été échangés dans l'ivresse du combat sans que l'un constate une faiblesse chez l'autre. Le rythme d'attaque de Darkbeniouc était extrêmement rapide et en disait long sur sa spécialité, sa puissance était moins importante que celle de Darkspears, mais son esquive, ses parades et ses assauts étaient plus rapides et efficaces. Yavanna quand à elle était d'une précision mortelle dans chacune de ses attaques et ne permettait aucune distraction ou erreur de la part de la défense adverse. Sa souplesse était également supérieure à celle de ses semblables et lui permettait de réaliser diverses techniques incroyables avec son épée que nul autre ne pouvait se permettre de tenter. Ils se chargèrent à nouveau et croisèrent leurs lames avec une puissance incommensurable puis les dégagèrent pour recommencer plusieurs fois d'affilées. Puis Yavanna s'écarta d'un bond en arrière avant de recevoir un coup surpuissant de Darkbeniouc. Celui-ci lui fonça dessus à nouveau et la frappa cinq fois pour cinq parades parfaites et au sixième coup, la jeune elfe bascula sur son côté droit pour éviter un coup en diagonale et aperçut un crane verdâtre de magie impie lui arriver dessus à grande vitesse. Elle ne pouvait plus l'éviter alors elle brisa le Voile Mortel de son épée et il se brisa en devenant une fumée épaisse et délétère qui engloutit complétement Yavanna. Cette dernière retint son souffle, il ne fallait absolument pas respirer ni ouvrir les yeux de peur d'être empoisonné ou sévèrement rongé. Elle avait toutefois plus d'un tour dans son sac et dès lors qu'elle avait vue le Voile, elle avait infusée sa lame de son pouvoir spécial et alors qu'elle se trouvait dans le nuage empesté par le chancre impie, elle utilisa une poigne de la mort pour attirer à lui son ennemi qui ne s'attendait pas à cela. Darkbeniouc parvint à dévier du mieux qu'il pu le coup mais fut tout de même touché de la pointe qui lui déchira le flanc et déversa la fièvre de givre dans son sang. Par cette occasion, elle déroba la chaleur de la victime de sa fièvre de givre et ralentit sa vitesse d'attaque en mêlée pour augmenter la sienne durant un court moment. Elle profita également des engelures de son ennemi qui ralentissaient sa vitesse de déplacement de moitiée pour un court instant afin de commencer son effroyable assaut. Alors que Darkbeniouc enrageait de constater l'horrible efficacité de toutes les altérations néfastes dont il était victime à cause d'une seule maladie, Yavanna arrivait sur lui pour lui offrir son dernier spectacle. Le chevalier de la mort s'inquiéta dangereusement, il savait qu'il ne survivrait pas à cet enchainement mortel sans réagir rapidement. Tandis que la jeune elfe de sang s'apprêtait à abattre son arme givrée sur sa proie, Darkbeniouc explosa de colère et un nuage de peste l'entoura et trois grands os maudits apparurent et gravitèrent à une vitesse vertigineuse autour de son corps. Le coup de Yavanna frappa de plein fouet un des os et fut étonnée de sa grande résistance, il était fissuré mais pas encore brisé. Elle poursuivit toutefois son assaut sans se décourager, et à force de frappes de givre, elle finit par briser cette extraordinaire armure. Seulement, sa cible avait retrouvée la plupart de ses moyens et se préparait déjà à la contre-attaque. Trois voiles mortels s'écrasèrent près d'elle provoquant une dense et abominable fumée, ainsi aveuglée, elle n'avait plus que sa concentration et son ouïe pour l'aider. Elle stoppa une première attaque de son adversaire, une seconde, la troisième pénétra son armure au niveau des cuisses et son sang se mit à goutter. Darkbeniouc reprit l'assaut avec une frappe de peste qui atteignit la jeune elfe dans le dos en laissant une profonde marque. Une douleur infinie la pénétra en même temps que la pestilence et le chancre impie. Elle avait perdue l'avantage et Darkbeniouc le savait également, il lui infligea une frappe de mort qui s'empara d'une bonne partie de sa vitalité restante pour le régénérer. Le coup envoya la jeune femme au tapis mais pour elle rien n'était encore finit. Elle se releva toute chétive et maladive pour faire face à la dernière charge de son ennemi qui arrivait comme la foudre avec sa claymore prête à la terrasser d'une terrible frappe du Fléau. Le coup rencontra une formidable résistance imprévue qui projeta la jeune elfe au loin. Personne ne s'attendait à la voir se relever après une pareille attaque, Darkbeniouc le premier. Il s'avançait pour constater de son état et resta interdit devant le génie incroyable de son ennemi. Celle-ci avait renforcée son armure d'une épaisse couche de glace qui avait absorbée tous les dommages. Elle était toutefois toute fissurée. C'était un duel de titans pour Darkspears qui apprenait beaucoup de ses semblables plus expérimentés. Il décida de prendre exemple sur eux et continua d'admirer le spectacle, curieux de savoir qui sortirait vainqueur de cette majestueuse rencontre. Yavanna semblait vidée de ses forces et Darkbeniouc avait encore de l'énergie à dépenser. Il ne laissa pas le temps à son adversaire de reprendre ses forces et s'élança. Elle resta immobile face au danger, fixant avec sérénité la claymore tomber lentement sur elle sans jamais pourtant l'atteindre. Pour cause, le chevalier de la mort était prit dans un scintillant bloc de glace qui l'empêchait de réaliser toute action. Toute a chaleur qui était autour de Yavanna avait été éradiquée, c'était sa technique de sauvetage ultime, le Froid Dévorant. Elle s'éloigna au plus loin qu'elle pu de son ennemi afin de récupérer un peu. Quand la glace se brisa, Darkbeniouc chargea tel une bête malgré avoir contracté la Fièvre de givre. Il s'en moquait étant donné que sa proie était vidée de ses forces. Arrivé à moins de dix mètres d'elle, Darkbeniouc se prit en pleine face une rafale hurlante qui le coupa dans son élan, puis une autre et une autre et encore une autre sans qu'il ne puisse s'en protéger. Sa garde étant brisée, Yavanna rassembla ses dernières forces dans une course sus à Darkbeniouc. Celui-ci la vit arriver et il envoya un coup fendre l'air pendant que Yavanna utilisa la neige pour se glisser sous son ennemi et atterrir derrière lui. Elle lui infligea une grave blessure dans le dos avec sa frappe de mort qui lui permit de se régénérer quelque peu. Son visage encore maculé de l'hémoglobine de Darkbeniouc, Yavanna prépara son ultime attaque : l'Anéantissement. Le chevalier de la mort n'eût juste le temps que de se retourner pour recevoir le coup en pleine poitrine qui déchira son torse et le mit à genoux devant elle. Darkbeniouc vivait encore, grâce à sa formidable résistance et sa grande force. Son souffle était pénible et difficile, son sang s'écoulait tout le long de son corps pour souiller la pureté de la neige. Yavanna suspendait sa lame au dessus de son ennemi vaincu et le fixa droit dans les yeux.Soudain, une lueur démente anima le regard du chevalier de la mort impie et un sourir se forma sur ses lèvres qui se transforma en un rictus effrayant et interminable. Une odeur pestilentielle avait envahie les lieux et une énergie aussi malsaine que celle de Darkbeniouc se faisait sentir derrière Yavanna. Elle eût tout juste la force de se retourner pour constater ce qui allait l'achever : une gargouille soumise au chevalier de la mort. Cette dernière s'aggrippa à la jeune elfe de sang et lui lacéra le visage de ses griffes acérées et contaminés. Ne tenant plus sur ses jambes, Yavanna s'effondra avec la créature sur elle qui s'acharnait avec furie. Elle utilisa ses toutes dernières forces dans un coup de pied qui dégagea la bête de son corps en charpie puis se redressa avant de subir les bombardements d'énergie impie de la bête folle qui parvint à aviliser la jeune elfe. Darkbeniouc s'approcha et glissa sa lame à double tranchant sous la george de son adversaire qui n'attendait plus que le coup final qui la délivrerait une fois pour toute de ses malheurs.

Aujourd’hui la foret étais d’une beauté saisissante, les rayon du soleil traversait le feuillage des arbres, même les plus épais et une légère bise matinale pouvait être sentie.
Un jeune elfe de sang se tenait sur un caillou au milieu des arbres et des chant des nombreux oiseaux. Une longue claymore étais visible dans son dos et son armures semblait très rudimentaire, mais en réalité il n’en étais rien, son armure était faite a l’aide de cuir récupéré sur un animal disparus il y a maintenant de nombreuse années, elle lui avait été offerte par un village situé au sommet d’une montagne après que ses habitants eut demander son aide, cette armure étais a la fois très résistante et d’une légèreté déconcertante, elle couvrait son corps des pieds jusqu’au cou en passant par les mains. Il savourait l’un de ces derniers sandwichs avant de reprendre sa route en direction du sud afin de trouver un autre village ou quelques habitants loueraient peut être ses services en échange de provisions et d’artefacts divers.

Ce jeune elfe n’étais autre que Kekenoby, un ancien général des armés elfiques. Tout en mangeant il repensait au passé douloureux qui hantais encore sa mémoire a l’heure actuelle.
Il y a quelques années de cela, lorsque Kekenoby étais encore général, une féroce bataille eu lieu face au fléau. Il menait l’armées des elfes de sang au cotés de son amie de toujours, la brillante et courageuse Yavanna. La bataille faisait rage, les coup d’épées contre les boucliers résonnaient dans la vallée et les puissants sorts lancés par les meilleurs magicien elfes avaient totalement dévastés cette contrée dont la beauté étais autrefois enviée dans tout le royaume. La victoire semblait être proche mais le destin en voulu autrement… Alors que les forces du fléau étaient sur le point d’être anéantis, le légendaire Kel Thuzad fit son apparition avec d’importante troupes en renforts.

Yavanna et Kekenoby se lancèrent donc droit sur leur nouvel ennemi, le combat étais rude, les sorts de Kel Thuzad étaient lancés avec une rapidité effrayante et une puissance inimaginable. Yavanna et Kekenoby tentèrent de l’encercler afin de jeter a bas leurs adversaire, mais en vain… Kel Thuzad réussi a esquiver tout leurs coup et contre-attaqua avec une férocité inégalée. Il donna un violent coup de coude a Kekenoby et l’envoya vingt mètres plus loin le laissant a deux doigt de la mort, ne laissant plus que Yavanna face a lui.

Un impressionnant duel commença donc entre Kel Thuzad et la courageuse Yavanna, ses coup d’épées étaient lancés a une vitesse fulgurante et étaient tous esquivé les uns après les autres, sauf un qui toucha le sombre sorcier a l'épaule, un cri comme personne n'en avait entendu dans ce bas-monde monta dans le ciel. Mais malheureusement plus le combat tardait plus la puissance de Yavanna diminuait et ce qui dut arrivé arriva… Kel Thuzad lanca un sort de contact mortel a Yavanna et la lança agonisante a deux mètres a peine de Kekenoby. Une larme coula le long de la joue du jeune Kekenoby et alla mourir sur le sol dévasté et encore humide du sang de Yavanna. Alors qu’il voyait son amie perdre la vie lentement mais surement il s’approcha d'elle afin de l’accompagner dans ces derniers instants.
Kekenoby se releva dans un dernier efforts et ordonna le repli de ses troupes.

Pendant un certains temps il continua de livrer bataille face aux force du fléau mais un mal le rongeait de l’intérieur et l’empêchait d’oublier l’amie avec laquelle il avait livrer et gagner mainte batailles, il s’en voulait de n’avoir pu la sauver. Un beau jour il décida de quitter l’armée et partit errer dans le royaume en aidant les personnes en grande nécessités afin que ces derniers n’ait pas a connaitre la souffrance qu’il endure.

Kekenoby repris sa longue marche a travers la foret, plus il progressait vers le cœur de la foret plus l’obscurité régnait, tel une reine sur son sombre trône gouvernent un royaume oubliée au cœur des ténèbres. Kekenoby sentait qu’une menace planait au dessus de lui, c’est pour cette raison qu’il resta encore plus sur ses gardes que d’habitude, afin qu’il ne soit pas pris au dépourvu. Finalement la présence hostile disparus et la lumière revient peu a peu sur la foret, il aperçût plus loin un magnifique point d’eau, il s’en approcha et bus une gorgée de cette eau encore plus clair qu’un morceau de cristal dans son état le plus pur. Il fut soudain pris de somnolence et décida donc de se reposer un court instant afin de recouvrer ses forces pour la suite du voyage. Il ferma les yeux et sentit son esprit s’évader vers le pays des rêve tel une âme quittant le corps d’une personne venant tout juste de périr.

Ses yeux se rouvrir comme si son esprit venait de se libérer d’un mauvais songe, la foret n’était plus la même que lorsqu’il ferma les yeux, elle étais devenus sombre, froide et dépéris, plus aucun signe de vie ne se faisait voir, entendre ou même ressentir. Seul une présence malfaisante semblait être aux cotés de Kekenoby, il tira sa claymore et se mit sur le qui-vive.

-Je sais que vous êtes la serviteur de l’ombre! Maintenant montrez vous afin que nous puissions nous affrontez en nous regardant dans le blanc des yeux tel de grand guerrier d’antan!

Un son strident se fit entendre et une fumée noir, tel du charbon, commença a se rassembler en face lui. Elle commença a prendre une forme ronde, puis elle pris une forme humanoïde, et enfin la forme d’une personne proche a Kekenoby.

-Cela ne se peut! Yavanna!

La fumée avais pris la forme de son ancienne amie, a un détail prés, ses yeux étais d’un intense rouge sang.

-Je ne suis pas l’amie que tu a connu, je suis l’un des cauchemar qui sommeil au fin fond de ton esprit.

-Pourquoi est tu la?

-Dans ton monde, certaines personnes se cache dans l’ombre, et lorsque tu tourne le dos, elle sorte de cette ombre pour te trancher la gorge, et te laisse agoniser par terre a ton triste sort, cette personne, c’est l’un de tes amis…

-Qu’est-ce que tu veut dire? Explique toi!

-Tu le découvrira bien assez tôt…

Sur ces mots, Yavanna disparus dans le fin fond de la foret.

-Attend! Reviens!

Kekenoby sentit de nouveau son esprit d’échapper de son corps et lorsqu’il ouvrit de nouveau les yeux, il étais de nouveau allonger a cote du point d’eau, la foret avait retrouver son aspect normal, a une chose prêt, la nuit étais tomber.

-Que peuvent donc signifier ses rêves? Cela fait mon troisième dans la même semaine, il y a surement une explication rationnel a tout cela, mais laquelle? C’est-ce que je dois découvrir… Qu’est-ce que tu essaye de me dire Yavanna?

Kekenoby récupéra ses affaires et continua de marcher en direction du sud et de la sortie de la foret.